Les brèves de comptoir, Antoine Blondin, s’y connait, et même si son attirance pour l’alcool a fait sa réputation, il était passé maître dans l’art de raconter des brèves…de comptoir.
Aujourd’hui, les bars ont été remplacés par des tweets ou autres médias, où il se raconte comme avant, des tonnes de conneries et des kilos de bon sens.
En voici quelques unes autour des gilets jaunes, qui franchissent parfois la ligne blanche, d’autres rafraichissantes de mauvaise humeur à la « française ». Donc sans jugement, brut de forme, voici mes vendanges :
« La haine qu’infuse Jean-Luc Mélenchon est, certes, plus éloquente et érudite que celle, primaire et instinctive, de Marine Le Pen. Les deux rivières, la rouge et la noire, confluent néanmoins pour former un fleuve puissant de haine collective ». #Libé
« Nul n’a pu oublier l’apostrophe prémonitoire de François Ruffin à Emmanuel Macron « je vous hais, je vous hais, je vous hais ! ». Il est d’ailleurs peut-être le plus brillant professeur de haine. Dans un gouvernement Mélenchon, il pourrait être « ministre de la Haine ».
Note intelligente de l’auteur : Recherche désespérément un « ministre de l’amour » 😯
« Le soutien de #Tapie aux #GiletsJaunes serait infiniment plus crédible s’il rendait les 450 millions d euros qu’il a volé aux français, non ? » #foutagedegueule #escroc
Note intelligente de l’auteur : « salaud, rends l’oseille » 👿
« A la radio, Luc Ferry, « intellectuel », ancien ministre de l’éducation, figure médiatique, appelle l’armée à tuer des manifestants. Dans le plus grand des calmes. Adolphe Thiers de retour ».
« Qu’ils se servent de leurs armes une bonne fois, écoutez, ça suffit ! On a la 4ème armée du monde, elle est capable de mettre fin à ces saloperies ! » Luc Ferry
Note intelligente de l’auteur : « putain, çà craint » 😈
« Mais dans la Constitution, y a pas un truc ?
-Non, je regrettais. Le président peut vous mettre des carottes durant cinq ans, c’est impossible de le révoquer. Et à l’Assemblée, il aura toujours ses robots d’En Marche ! Le système est verrouillé ».
Note intelligente de l’auteur : putain, çà craint 😕
« S’il faut soumettre les élites à la critique, ne le faisons pas à partir d’une contestation populaire idéalisée qui serait la référence du vrai et du bien. Encenser la foule contre les élites n’a jamais mené très loin, sinon dans les régions du pire ».
« Une saine démocratie n’épargne personne. Les extrêmes idéologiques adorent mettre à bas les élites et flatter le peuple. On sait comment cela finit. Dans l’autoritarisme et la mise au pas ».